il est important de commencer avec des jeux préalables à la pénétration les caresses, les baisers sont fondamentaux pour obtenir l'excitation, la stimulation manuelle…, grâce a ces préliminaires on aura une lubrification adéquate et de cette manière on obtiendra la pénétration. De toutes manières, il arrive souvent qu'il y ait " des plusieurs premières fois", jusqu'à atteindre la pénétration complète, avant tout, il faut avoir de la patience et ne pas négliger que les jeux préalables sont tellement importants comme la pénétration.
L’ hymen est une membrane mince qui se trouve à peu de millimètres de l'entrée du vagin il Y a des femmes qui manquent foncièrement d’ hymen ; il y a d'autres qui l'ont mais il n'est pas perforé et il y a des femmes qui ont un hymen d'une grande élasticité par conséquent, n'ont pratiquement purgé ni senti aucune douleur et on ne peut le rompre qu'après de nombreuses relations à la femme qui n'a pas été sexuellement pénétrée est considérée comme une vierge et ceci suppose l'intégrité de l’ hymen.
L'idée est commune qu’à la "première fois", la pénétration est difficile, car ça cause des douleurs à la femme. L’hymen peut purger une fois déchiré, ce qui arrive pendant la pénétration dans les premiers contacts sexuels ou par lésion accidentelle. Selon quelques religions la virginité est considérée un trésor et l’hymen comme sa clé. Dans ce sens, la défloration (autre manière de désigner à la première relation sexuelle de la femme) est vécue comme perte et selon les convictions qui l'éprouvent, il se peut qu’on arrive à se satisfaire ou au contraire avec angoisse ou accusation ou bien une intensification des ennuis physiques naturels.
La première fois, peut souvent produire une certaine anxiété, surtout au fur et à mesure qu'un croît en âge n’est encore pas passé par l'expérience. Le pas du temps produit parfois une sensation de honte et de "avoir perdu le train", fantaisie qui inhibe la possibilité d'un possible contact sexuel satisfaisant. Il est important de différencier les inhibitions sexuelles de type névrosé de celles qui se détachent de conceptions religieuses. Dans quelques perspectives religieuses, pour beaucoup de femmes, le rapprochement sexuel que l’on note spécifiquement à la reproduction est considéré quelque chose impropre et peccamineuse.
Pour des raisons identiques beaucoup de femmes ne connaissent pas leur corps, ni sont disposées à le faire. Sous ces accords il n'est pas difficile que la femme considère l'érotisme comme quelque chose de honteux.
Les possibilités d'éprouver de la satisfaction pour des femmes difficiles avec des sentiments ou des convictions religieuses seront conditionnées à ce que sa conscience, le permettent-ils.
Et n´oubliez pas :"le comment, quand et où faire le sexe, c'est une question d'élection personnelle" .